Bien que bloqué dans son atelier, lors des inondations de 1958, Max du Camp a pu faire une photo de la crue dans la Rue Cléon Griolet, à partir du balcon ou d’une fenêtre de son domicile, situé tout à côté.
Sur les très personnes touchées à ce jour, par notre article sur « Les passes du Vidourle » de la semaine dernière, nous n’avons reçu aucun témoignage sur le sort qui leur a été réservé après l’inondation de 1958.
Notre collègue, Nicolas Lawriw, expert en archives, a toutefois trouvé une délibération du Conseil Municipal indiquant que ces passes, comme on pouvait le penser n’ont pas été démolies, mais restaurées, comme celles de Garanel par François Lopez.
A quelle époque donc, ont-elles disparu ?
A suivre !
Qui nous renseignera ?
Gérard Guiraudet
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