« 𝘓’𝘢𝘯 1712 𝘦𝘵 𝘭𝘦 𝘭𝘶𝘯𝘥𝘺 29 𝘫𝘰𝘶𝘳 𝘥’𝘢𝘰𝘶𝘵 𝘢𝘱𝘳è𝘴 𝘮𝘪𝘥𝘺 à 𝘭𝘢 𝘷𝘪𝘭𝘭𝘦 𝘥𝘦 𝘚𝘰𝘮𝘮𝘪è𝘳𝘦𝘴 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘢 𝘴𝘢𝘭𝘭𝘦 𝘥𝘦 𝘭’𝘏𝘰𝘴𝘵𝘦𝘭 𝘥𝘦 𝘷𝘪𝘭𝘭𝘦, 𝘭𝘦 𝘣𝘶𝘳𝘦𝘢𝘶 𝘥𝘦 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘤𝘦 𝘢𝘴𝘴𝘦𝘮𝘣𝘭é 𝘰𝘶 𝘴𝘦 𝘴𝘰𝘯𝘵 𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷é𝘴 𝘔° 𝘍𝘳𝘢𝘯ç𝘰𝘪𝘴 𝘥𝘦 𝘉é𝘳𝘢𝘳𝘥, 𝘑𝘦𝘢𝘯 𝘉𝘢𝘶𝘮𝘦𝘵, 𝘗𝘪𝘦𝘳𝘳𝘦 𝘌𝘴𝘱𝘪𝘯𝘢𝘴𝘴𝘦, 𝘎𝘢𝘳𝘪𝘴𝘴𝘰𝘯 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘶𝘭𝘴 𝘦𝘵 𝘭𝘪𝘦𝘶𝘵𝘦𝘯𝘢𝘯𝘵𝘴 𝘨é𝘯𝘦𝘳𝘢𝘶𝘹 𝘥𝘦 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘤𝘦. 𝘗𝘶𝘫𝘰𝘭𝘴 𝘥𝘰𝘤𝘵𝘦𝘶𝘳, 𝘛𝘦𝘳𝘳𝘪𝘦𝘳 𝘤𝘩𝘪𝘳𝘶𝘳𝘨𝘪𝘦𝘯, 𝘋𝘢𝘳𝘰𝘶𝘴𝘴𝘪𝘯 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘰𝘴𝘢𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘣𝘶𝘳𝘦𝘢𝘶 𝘥𝘦 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘤𝘦.
𝘗𝘢𝘳 𝘭𝘦 𝘱𝘳𝘦𝘮𝘪𝘦𝘳 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘶𝘭 𝘢 𝘦𝘴𝘵é 𝘧𝘢𝘪𝘵 𝘳𝘢𝘱𝘰𝘳𝘵 𝘢𝘶 𝘣𝘶𝘳𝘦𝘢𝘶 𝘲𝘶𝘦 𝘔𝘳 𝘭𝘦 𝘤𝘶𝘳é 𝘥𝘦 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘷𝘪𝘭𝘭𝘦 𝘢𝘺𝘢𝘯𝘵 𝘦𝘴𝘵é 𝘢𝘷𝘦𝘳𝘵𝘺 𝘲𝘶𝘦 𝘭𝘦𝘴 𝘯𝘰𝘮𝘮é𝘴 𝘚𝘢𝘣𝘢𝘵𝘪𝘦𝘵, 𝘊𝘳𝘰𝘺𝘦, 𝘊𝘢𝘣𝘢𝘯𝘦, 𝘊𝘰𝘶𝘭𝘦𝘳𝘰𝘯 𝘥𝘪𝘵 𝘭𝘦 𝘮𝘪𝘵𝘳𝘰𝘯, 𝘗𝘢𝘭𝘢𝘥𝘢𝘯 𝘣𝘰𝘶𝘭𝘢𝘯𝘨𝘦𝘳, 𝘊𝘢𝘱𝘪𝘰𝘯 𝘦𝘵 𝘋𝘶𝘱𝘶𝘺 𝘵𝘰𝘶𝘴 𝘯𝘰𝘶𝘷𝘦𝘢𝘶𝘹 𝘤𝘢𝘵𝘰𝘭𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 (𝘥𝘰𝘯𝘤 𝘢𝘯𝘤𝘪𝘦𝘯𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘵𝘦𝘴𝘵𝘢𝘯𝘵𝘴) 𝘢𝘷𝘢𝘪𝘦𝘯𝘵 𝘫𝘰𝘶é 𝘢𝘶 𝘣𝘢𝘭𝘰𝘯 𝘱𝘶𝘣𝘭𝘪𝘲𝘶𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘭𝘦 15 𝘢𝘰𝘶𝘵 𝘧𝘦𝘴𝘵𝘦 𝘥𝘦 𝘭’𝘈𝘴𝘴𝘰𝘮𝘱𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘕𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘋𝘢𝘮𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦 𝘫𝘦𝘶 𝘥𝘦 𝘣𝘢𝘭𝘰𝘯 𝘲𝘶𝘪 𝘦𝘴𝘵 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦 𝘧𝘰𝘴𝘴é 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘷𝘪𝘭𝘭𝘦 𝘫𝘰𝘪𝘨𝘯𝘢𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘤𝘪𝘮𝘦𝘵𝘪è𝘳𝘦 𝘥𝘦𝘱𝘶𝘪𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘴𝘦𝘱𝘵 𝘩𝘶𝘪𝘵 𝘩𝘦𝘶𝘳𝘦𝘴 𝘥𝘶 𝘮𝘦𝘮𝘦 𝘮𝘢𝘵𝘪𝘯 𝘦𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘔𝘳 𝘭𝘦 𝘷𝘪𝘤𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘢𝘷𝘢𝘪𝘵 𝘧𝘢𝘪𝘵 𝘭𝘢 𝘤𝘰𝘳𝘳𝘦𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘯𝘦 𝘭𝘦𝘴 𝘢𝘷𝘢𝘪𝘦𝘯𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘦𝘮𝘱𝘦𝘤𝘩𝘦𝘳 𝘥𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘪𝘯𝘶𝘦𝘳 𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘪𝘦 𝘦𝘵 𝘮𝘦𝘴𝘮𝘦 𝘥𝘦 𝘳𝘦𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦𝘯𝘤𝘦𝘳 𝘭𝘦 𝘮𝘦𝘴𝘮𝘦 𝘫𝘰𝘶𝘳 𝘦𝘵 𝘢𝘶𝘳𝘢𝘪𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘪𝘯𝘶𝘦𝘳 𝘱𝘦𝘯𝘥𝘢𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘵𝘦𝘮𝘱𝘴 𝘲𝘶’𝘰𝘯 𝘤𝘩𝘢𝘯𝘵é 𝘷𝘦𝘴𝘱𝘳𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘱𝘳𝘰𝘤𝘦𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘦 𝘷œ𝘶 𝘥𝘶 𝘙𝘰𝘺, 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘰𝘣𝘭𝘪𝘨𝘦 𝘔𝘳 𝘭𝘦 𝘤𝘶𝘳é 𝘥𝘦 𝘥é𝘯𝘰𝘯𝘤𝘦𝘳 𝘢𝘶 𝘮𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘔𝘳 𝘥𝘦 𝘔𝘰𝘪𝘴𝘴𝘢𝘤 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘥𝘢𝘮𝘯𝘦𝘳 𝘤𝘦𝘴 𝘥é𝘭𝘪𝘯𝘲𝘶𝘢𝘯𝘵𝘴 𝘦𝘯 𝘭’𝘢𝘮𝘦𝘯𝘥𝘦 𝘵𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘭𝘢 𝘮é𝘳𝘪𝘵𝘦 𝘥𝘶 𝘣𝘶𝘳𝘦𝘢𝘶 𝘥𝘦 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘤𝘦.
𝘈𝘶𝘵𝘳𝘦 𝘳𝘢𝘱𝘱𝘰𝘳𝘵 𝘢𝘶 𝘱𝘳𝘦𝘮𝘪𝘦𝘳 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘶𝘭 𝘱𝘢𝘳 𝘭𝘦𝘥𝘪𝘵 𝘤𝘶𝘳é 𝘭𝘶𝘺 𝘥é𝘯𝘰𝘯𝘤𝘦𝘳 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦 𝘭𝘦 25 𝘢𝘰𝘶𝘵 𝘧𝘦𝘴𝘵𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘚𝘢𝘪𝘯𝘵-𝘓𝘰𝘶𝘪𝘴 𝘙𝘰𝘺 𝘥𝘦 𝘍𝘳𝘢𝘯𝘤𝘦, 𝘭𝘦 𝘯𝘰𝘮𝘮é 𝘔𝘰𝘶𝘭𝘩𝘦𝘳𝘢𝘤 𝘮𝘢𝘴𝘴𝘰𝘯 𝘢𝘳𝘤𝘩𝘪𝘵𝘦𝘤𝘵𝘦, 𝘢𝘶 𝘮é𝘱𝘳𝘪𝘴 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘧𝘦𝘴𝘵𝘦 𝘵𝘳𝘢𝘷𝘢𝘪𝘭𝘭𝘢 𝘱𝘶𝘣𝘭𝘪𝘲𝘶𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵, 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘰𝘯𝘻𝘦 𝘢𝘶𝘵𝘳𝘦𝘴 𝘵𝘢𝘯𝘵𝘴 𝘤𝘢𝘳𝘳𝘪𝘦𝘳𝘴, 𝘮𝘢𝘯œ𝘶𝘷𝘳𝘦𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘮𝘢𝘴𝘴𝘰𝘯𝘴, 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘺 𝘤𝘢𝘶𝘴𝘢 𝘶𝘯 𝘨𝘳𝘢𝘯𝘴 𝘦𝘴𝘤𝘢𝘯𝘥𝘢𝘭𝘦 𝘦𝘵 𝘲𝘶𝘪 𝘮é𝘳𝘪𝘵𝘦 𝘤𝘩𝘢𝘵𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵, 𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦𝘱𝘶𝘪𝘴 𝘤𝘦𝘴 𝘥é𝘯𝘰𝘯𝘤𝘦𝘴 𝘔𝘳 𝘭𝘦 𝘤𝘶𝘳é 𝘢 𝘳é𝘪𝘵𝘦𝘳é 𝘱𝘢𝘳 𝘶𝘯 𝘭𝘪𝘣é𝘭𝘭é 𝘭𝘦 26 𝘥𝘦 𝘤𝘦 𝘮𝘰𝘪𝘴 𝘢𝘶 𝘴𝘪𝘦𝘶𝘳 𝘎𝘢𝘳𝘪𝘮𝘰𝘯𝘥 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘶𝘭 𝘥𝘦 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘢𝘴𝘴𝘦𝘮𝘣𝘭𝘦𝘳 𝘭𝘦 𝘣𝘶𝘳𝘦𝘢𝘶 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘱𝘶𝘯𝘪𝘳 𝘭𝘦𝘴𝘥𝘪𝘵𝘴 𝘷𝘪𝘰𝘭𝘢𝘵𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘥𝘦 𝘧𝘦𝘴𝘵𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦 𝘤𝘦𝘴 𝘴𝘰𝘳𝘵𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘥é𝘭𝘪𝘵𝘴 𝘯𝘦 𝘥𝘰𝘪𝘷𝘦𝘯𝘵 𝘳𝘦𝘴𝘵𝘦𝘳 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭’𝘪𝘮𝘱𝘶𝘯𝘪𝘵é, 𝘪𝘭 𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘷𝘰𝘲𝘶é 𝘦𝘵 𝘧𝘢𝘪𝘵 𝘢𝘴𝘴𝘦𝘮𝘣𝘭é 𝘭𝘦 𝘣𝘶𝘳𝘦𝘢𝘶 𝘥𝘦 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘤𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘦𝘴𝘵𝘳𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘤𝘦𝘥𝘦𝘳 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘤𝘦𝘴 𝘷𝘪𝘰𝘭𝘢𝘵𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘥𝘦 𝘧𝘦𝘴𝘵𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘳𝘢𝘪𝘴𝘰𝘯… »
𝙀𝙥𝙞𝙡𝙤𝙜𝙪𝙚
Les joueurs de ballon déclarèrent qu’ils jouaient bien au ballon ces jours susdits mais cessèrent leur jeu pendant la célébration des offices et le déroulement des processions et offrent pour preuves de faire assigner des témoins. L’architecte accusé d’avoir fait travailler d’autres personnes les mêmes jours a dit « 𝘭𝘦 𝘵𝘳𝘢𝘷𝘢𝘪𝘭 𝘲𝘶’𝘪𝘭 𝘧𝘪𝘵 𝘦𝘴𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘴𝘰𝘶𝘴𝘵𝘳𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘭𝘦 𝘨𝘭𝘢𝘤𝘪𝘴 𝘥𝘶 𝘤𝘩â𝘵𝘦𝘢𝘶 𝘥𝘦 𝘚𝘰𝘮𝘮𝘪è𝘳𝘦𝘴 𝘢𝘶-𝘥𝘦𝘴𝘴𝘰𝘶𝘴 𝘥𝘦𝘴 𝘦𝘮𝘣𝘳𝘢𝘴𝘶𝘳𝘦𝘴 𝘥𝘦𝘴 𝘤𝘢𝘯𝘰𝘯𝘴 𝘲𝘶𝘪 𝘴𝘰𝘶𝘵𝘪𝘦𝘯𝘵 𝘭𝘢 𝘵𝘦𝘳𝘳𝘦 𝘴𝘶𝘳 4 𝘵𝘰𝘪𝘴𝘦𝘴 𝘮𝘦𝘯𝘢𝘤𝘢𝘪𝘵 𝘳𝘶𝘺𝘯𝘦 𝘦𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘳é𝘱𝘢𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘯𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘷𝘢𝘪𝘵 𝘦𝘴𝘵𝘳𝘦 𝘥𝘪𝘧𝘧é𝘳é à 𝘤𝘢𝘶𝘴𝘦 𝘥𝘶 𝘥𝘢𝘯𝘨𝘦𝘳 é𝘷𝘪𝘥𝘦𝘯𝘵, 𝘴𝘢 𝘧𝘢𝘶𝘵𝘦 𝘯’𝘢𝘺𝘢𝘯𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘥𝘦𝘮𝘢𝘯𝘥é 𝘭𝘢 𝘱𝘦𝘳𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 à 𝘔𝘳 𝘭𝘦 𝘤𝘶𝘳é, 𝘪𝘭 𝘳𝘦𝘲𝘶𝘪𝘦𝘳 𝘭𝘦 𝘣𝘶𝘳𝘦𝘢𝘶 𝘥𝘦 𝘭𝘦 𝘳𝘦𝘯𝘷𝘰𝘺𝘦𝘳 𝘢𝘣𝘴𝘰𝘶𝘴. »
Le bureau de police attendra d’être plus informé du contenu de la « dénonce » et du sieur curé et des « dénégations » des joueurs de ballon. L’architecte sera condamné à 60 sols d’amende à verser à l’œuvre pieuse des Dames de la miséricorde.
Après la Révocation de l’Edit de Nantes en 1685 et devant les contraintes et les menaces contre leur religion, un nombre très important de protestants (RPR : Religion Prétendue Réformée) choisissent l’exil, les autres n’eurent que le choix entre l’abjuration ou la conversion : c’est les nouveaux catholiques ou convertis, mais gardant toujours leur Foi réformée maintenue clandestinement dans le secret des familles et le « Désert » des vallées cévenoles. Cette violence royale et cléricale contre la liberté de conscience va déclencher le soulèvement des Camisards en 1702.
A Sommières en 1712 si le clergé est sévère dans l’application des règles de la religion catholique, les autorités communautaires et la population manifestent peu d’enthousiasme à ces sanctions.
Archives communales de Sommières. (22.6.2022)
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