Il faut attendre le 31 août 1790 pour trouver la mention d'un incendie.
Monsieur Berchambet, procureur de la commune de Sommières, décrit de gros incendies les 10 et 17 août provoquant d'importants dégâts : « 𝘓𝘢 𝘮𝘢𝘪𝘴𝘰𝘯 𝘥𝘶 𝘚𝘪𝘦𝘶𝘳 𝘝𝘪𝘨𝘦𝘳, « 𝘊𝘰𝘯𝘴𝘦𝘪𝘭𝘭𝘦𝘳 » 𝘣𝘳û𝘭𝘢, 𝘭𝘦𝘴 𝘴𝘦𝘤𝘰𝘶𝘳𝘴 𝘢𝘶𝘳𝘢𝘪𝘦𝘯𝘵 𝘴𝘶𝘧𝘧𝘪 à 𝘢𝘳𝘳ê𝘵𝘦𝘳 𝘭𝘦 𝘧𝘦𝘶, 𝘴𝘪 𝘭𝘦𝘴 𝘶𝘳𝘯𝘦𝘴 𝘴𝘱é𝘤𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘢𝘶 𝘵𝘳𝘢𝘯𝘴𝘱𝘰𝘳𝘵 𝘥𝘦 𝘭'𝘦𝘢𝘶 𝘯𝘦 𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘢𝘷𝘢𝘪𝘦𝘯𝘵 𝘮𝘢𝘯𝘲𝘶é. 𝘋𝘦𝘶𝘹 𝘧𝘢𝘮𝘪𝘭𝘭𝘦𝘴 𝘴𝘦 𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷𝘦𝘯𝘵 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘢 𝘮𝘪𝘴è𝘳𝘦, 𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘣𝘪𝘦𝘯𝘴 é𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘪𝘴 𝘦𝘯 𝘧𝘶𝘮é𝘦. 𝘋𝘢𝘯𝘴 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘷𝘪𝘭𝘭𝘦𝘴 𝘣𝘪𝘦𝘯 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘷𝘶𝘦𝘴, 𝘰𝘯 𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷𝘦 à 𝘭'𝘏ô𝘵𝘦𝘭 𝘊𝘰𝘮𝘮𝘶𝘯𝘢𝘭 𝘥𝘦𝘴 𝘴𝘦𝘢𝘶𝘹 𝘦𝘯 𝘤𝘶𝘪𝘳, 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘰𝘮𝘱𝘦𝘴 𝘦𝘯 𝘯𝘰𝘮𝘣𝘳𝘦 𝘴𝘶𝘧𝘧𝘪𝘴𝘢𝘯𝘵, 𝘴𝘶𝘪𝘷𝘢𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘯𝘰𝘮𝘣𝘳𝘦 𝘥'𝘩𝘢𝘣𝘪𝘵𝘢𝘯𝘵𝘴 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘶𝘯𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘦𝘯𝘷𝘪𝘳𝘰𝘯𝘴. 𝘜𝘯𝘦 𝘥𝘦𝘮𝘢𝘯𝘥𝘦 𝘢 é𝘵é 𝘧𝘢𝘪𝘵𝘦 𝘢𝘶 𝘊𝘰𝘯𝘴𝘦𝘪𝘭 𝘔𝘶𝘯𝘪𝘤𝘪𝘱𝘢𝘭 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭'𝘢𝘶𝘵𝘰𝘳𝘪𝘴𝘦𝘳 à 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘶𝘯𝘦 𝘥é𝘱𝘦𝘯𝘴𝘦 𝘥𝘦 1000 𝘭𝘪𝘷𝘳𝘦𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭'𝘢𝘤𝘩𝘢𝘵 𝘥𝘦 100 𝘴𝘦𝘢𝘶𝘹 𝘦𝘯 𝘤𝘶𝘪𝘳𝘴. »
Compte tenu des nombreux sinistres causés par le feu dans notre ville, la création d'un corps destiné à combattre ce fléau s'avéra nécessaire, mais il fallut attendre soixante ans.
𝘌𝘮𝘪𝘭𝘦 𝘉𝘰𝘪𝘴𝘴𝘰𝘯 𝘔𝘢𝘪𝘳𝘦
« 𝘔𝘰𝘯𝘴𝘪𝘦𝘶𝘳 𝘭𝘦 𝘔𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘢 𝘦𝘹𝘱𝘰𝘴é 𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦 𝘣𝘶𝘵 𝘥𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘷𝘰𝘪𝘳 à 𝘶𝘯𝘦 𝘯é𝘤𝘦𝘴𝘴𝘪𝘵é 𝘶𝘯𝘢𝘯𝘪𝘮𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘳𝘦𝘤𝘰𝘯𝘯𝘶𝘦, 𝘤𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘥𝘦 𝘭'𝘰𝘳𝘨𝘢𝘯𝘪𝘴𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘦𝘯 𝘷𝘪𝘭𝘭𝘦 𝘥'𝘶𝘯𝘦 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘢𝘨𝘯𝘪𝘦 𝘥𝘦 𝘴𝘢𝘱𝘦𝘶𝘳𝘴-𝘱𝘰𝘮𝘱𝘪𝘦𝘳𝘴, 𝘪𝘭 𝘢𝘷𝘢𝘪𝘵 𝘥è𝘴 𝘭𝘦 𝘮𝘰𝘪𝘴 𝘥𝘦 𝘯𝘰𝘷𝘦𝘮𝘣𝘳𝘦 𝘥𝘦𝘳𝘯𝘪𝘦𝘳 𝘦𝘵 𝘱𝘳𝘦𝘴𝘲𝘶𝘦 𝘪𝘮𝘮é𝘥𝘪𝘢𝘵𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘢𝘱𝘳è𝘴 𝘴𝘰𝘯 𝘦𝘯𝘵𝘳é𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭'𝘢𝘥𝘮𝘪𝘯𝘪𝘴𝘵𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯, 𝘧𝘢𝘪𝘵 𝘢𝘱𝘱𝘦𝘭 à 𝘤𝘦𝘶𝘹 𝘥𝘦 𝘴𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘤𝘪𝘵𝘰𝘺𝘦𝘯𝘴 𝘥𝘰𝘯𝘵 𝘭𝘦𝘴 𝘮é𝘵𝘪𝘦𝘳𝘴 𝘦𝘵 𝘱𝘳𝘰𝘧𝘦𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘴𝘦𝘳𝘢𝘪𝘦𝘯𝘵 𝘦𝘯 𝘳𝘢𝘱𝘱𝘰𝘳𝘵 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘳𝘶𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦𝘴 𝘮𝘢𝘪𝘴𝘰𝘯𝘴 𝘦𝘵 𝘣â𝘵𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵𝘴 ; 𝘲𝘶𝘦 𝘱𝘭𝘶𝘴𝘪𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘺 𝘳é𝘱𝘰𝘯𝘥𝘪𝘳𝘦𝘯𝘵, 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘤𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘫𝘦𝘵 𝘯𝘦 𝘱𝘶𝘵 𝘢𝘭𝘰𝘳𝘴 𝘳𝘦𝘤𝘦𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘶𝘯𝘦 𝘦𝘹é𝘤𝘶𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘪𝘮𝘮é𝘥𝘪𝘢𝘵𝘦.
𝘊𝘦𝘱𝘦𝘯𝘥𝘢𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘮ê𝘮𝘦 𝘣𝘦𝘴𝘰𝘪𝘯 𝘦𝘹𝘪𝘴𝘵𝘢𝘪𝘵, 𝘭𝘰𝘳𝘴𝘲𝘶'𝘶𝘯 𝘥é𝘷𝘰𝘶𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘩𝘰𝘯𝘰𝘳𝘢𝘣𝘭𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘱𝘢𝘳𝘵 𝘥'𝘶𝘯 𝘤𝘦𝘳𝘵𝘢𝘪𝘯 𝘯𝘰𝘮𝘣𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘤𝘪𝘵𝘰𝘺𝘦𝘯𝘴 𝘫𝘢𝘭𝘰𝘶𝘹 𝘥𝘦 𝘴'𝘢𝘴𝘴𝘰𝘤𝘪𝘦𝘳 à 𝘶𝘯𝘦 𝘮𝘦𝘴𝘶𝘳𝘦 𝘥'𝘶𝘯𝘦 𝘶𝘵𝘪𝘭𝘪𝘵é 𝘢𝘶𝘴𝘴𝘪 é𝘷𝘪𝘥𝘦𝘯𝘵𝘦, 𝘦𝘴𝘵 𝘷𝘦𝘯𝘶 𝘦𝘯 𝘢𝘪𝘥𝘦 à 𝘭'𝘢𝘥𝘮𝘪𝘯𝘪𝘴𝘵𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘮𝘶𝘯𝘪𝘤𝘪𝘱𝘢𝘭𝘦.
𝘊𝘦𝘴 𝘤𝘪𝘵𝘰𝘺𝘦𝘯𝘴 𝘴𝘰𝘯𝘵 𝘷𝘦𝘯𝘶𝘴 𝘴𝘱𝘰𝘯𝘵𝘢𝘯é𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘴'𝘰𝘧𝘧𝘳𝘪𝘳 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘧𝘰𝘳𝘮𝘦𝘳 𝘭𝘦 𝘯𝘰𝘺𝘢𝘶 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘊𝘰𝘮𝘱𝘢𝘨𝘯𝘪𝘦 𝘦𝘯 𝘱𝘳𝘦𝘯𝘢𝘯𝘵 𝘭'𝘦𝘯𝘨𝘢𝘨𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 é𝘤𝘳𝘪𝘵 𝘥𝘦 𝘴'𝘩𝘢𝘣𝘪𝘭𝘭𝘦𝘳 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘴'é𝘲𝘶𝘪𝘱𝘦𝘳 à 𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘧𝘳𝘢𝘪𝘴.
𝘓'𝘢𝘥𝘮𝘪𝘯𝘪𝘴𝘵𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘢 𝘥û 𝘢𝘤𝘤𝘶𝘦𝘪𝘭𝘭𝘪𝘳 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘳𝘦𝘤𝘰𝘯𝘯𝘢𝘪𝘴𝘴𝘢𝘯𝘤𝘦 𝘦𝘵 𝘦𝘮𝘱𝘳𝘦𝘴𝘴𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘦𝘵 é𝘭𝘢𝘯 𝘨é𝘯é𝘳𝘦𝘶𝘹 𝘦𝘵 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘦 𝘤𝘩𝘢𝘮𝘱, 𝘢𝘱𝘳è𝘴 𝘢𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘧𝘢𝘪𝘵 𝘶𝘯 𝘯𝘰𝘶𝘷𝘦𝘭 𝘢𝘱𝘱𝘦𝘭 𝘢𝘶𝘹 𝘢𝘶𝘵𝘳𝘦𝘴 𝘤𝘪𝘵𝘰𝘺𝘦𝘯𝘴, 𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘴'𝘦𝘴𝘵 𝘮𝘪𝘴𝘦 à 𝘭'œ𝘶𝘷𝘳𝘦 ; 𝘦𝘵 𝘱𝘢𝘳 𝘶𝘯 𝘢𝘳𝘳ê𝘵é 𝘥𝘶 25 𝘢𝘷𝘳𝘪𝘭 𝘥𝘦𝘳𝘯𝘪𝘦𝘳, 𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘢 𝘥𝘳𝘦𝘴𝘴é 𝘭𝘦 𝘳è𝘨𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘪𝘵𝘶𝘵𝘪𝘧 𝘥'𝘶𝘯 𝘊𝘰𝘳𝘱𝘴 𝘔𝘶𝘯𝘪𝘤𝘪𝘱𝘢𝘭 𝘥𝘦 𝘚𝘢𝘱𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘗𝘰𝘮𝘱𝘪𝘦𝘳𝘴.
….𝘔𝘢𝘪𝘴 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘰𝘳𝘨𝘢𝘯𝘪𝘴𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘴𝘦𝘳𝘢𝘪𝘵 𝘴𝘢𝘯𝘴 𝘳é𝘴𝘶𝘭𝘵𝘢𝘵 𝘶𝘵𝘪𝘭𝘦, 𝘴'𝘪𝘭 𝘯'𝘦𝘴𝘵 𝘧𝘰𝘶𝘳𝘯𝘪 à 𝘭𝘢 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘢𝘨𝘯𝘪𝘦 𝘶𝘯𝘦 𝘱𝘰𝘮𝘱𝘦 à 𝘪𝘯𝘤𝘦𝘯𝘥𝘪𝘦 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦𝘴 𝘢𝘤𝘤𝘦𝘴𝘴𝘰𝘪𝘳𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘷𝘦𝘯𝘢𝘣𝘭𝘦𝘴, 𝘔𝘰𝘯𝘴𝘪𝘦𝘶𝘳 𝘭𝘦 𝘔𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘱𝘰𝘴𝘦 𝘢𝘶 𝘊𝘰𝘯𝘴𝘦𝘪𝘭 𝘔𝘶𝘯𝘪𝘤𝘪𝘱𝘢𝘭 𝘭'𝘢𝘤𝘩𝘢𝘵 𝘥𝘦 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘱𝘰𝘮𝘱𝘦 𝘦𝘵 𝘭𝘶𝘪 𝘥𝘦𝘮𝘢𝘯𝘥𝘦 𝘥𝘦 𝘷𝘰𝘵𝘦𝘳 𝘭𝘢 𝘥é𝘱𝘦𝘯𝘴𝘦 𝘯é𝘤𝘦𝘴𝘴𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘤𝘦𝘵 𝘰𝘣𝘫𝘦𝘵.
C’est le 15 mai 1849,que l’on trouve une délibération autorisant la dépense d’une somme de 800 F pour l’établissement d’une pompe à incendie..
𝘚𝘶𝘳 𝘲𝘶𝘰𝘪 𝘭𝘦 𝘊𝘰𝘯𝘴𝘦𝘪𝘭 𝘔𝘶𝘯𝘪𝘤𝘪𝘱𝘢𝘭 𝘢𝘳𝘳ê𝘵𝘦 à 𝘭𝘢 𝘮𝘢𝘫𝘰𝘳𝘪𝘵é 𝘥𝘦 𝘥𝘰𝘶𝘻𝘦 𝘷𝘰𝘪𝘹 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘵𝘳𝘰𝘪𝘴
𝘔𝘰𝘯𝘴𝘪𝘦𝘶𝘳 𝘭𝘦 𝘔𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘢𝘶𝘵𝘰𝘳𝘪𝘴é à 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘭'𝘢𝘤𝘩𝘢𝘵 𝘥'𝘶𝘯𝘦 𝘱𝘰𝘮𝘱𝘦 à 𝘪𝘯𝘤𝘦𝘯𝘥𝘪𝘦 𝘥'𝘶𝘯𝘦 𝘷𝘢𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘥𝘦 800 𝘍. ».
Le règlement concernant l'organisation du Corps des sapeurs- pompiers de notre ville a été approuvé le 25 avril 1849 par le Ministre des Travaux Publics, Monsieur Lacrosse
- Tous les membres du Corps des Sapeurs Pompiers restent étrangers au service ordinaire de la Garde Nationale.
- Les officiers sont nommés par le Préfet sur proposition du Maire
En ce qui concerne les uniformes deux tenues sont prévues :
Les sapeurs-pompiers sont équipés et habillés à leurs frais. Une somme de 100 F est votée le 2 septembre 1849 pour dédommager les frais d'équipement et d'habillement, sauf pour le fusil qui est fourni par l'État ; les deux tambours sont habillés et équipés par la ville.
Le service des sapeurs-pompiers est gratuit, toutefois ils peuvent recevoir des gratifications ou des récompenses qui sont accordées au Corps par les compagnies d'assurance ou les particuliers incendiés et dont l'acceptation a été autorisée par le Maire.
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